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Point commun : où est l’intérêt du citoyen là-dedans ?

FINANCE MIC MAC

Le monde de la finance et les décideurs continuent à ignorer les citoyens

lundi 13 avril 2009 par JMT

L’Etat français a vendu pour 395 millions d’euros de biens immobiliers l’an dernier, loin de son objectif de 600 millions d’euros, indique le ministre du Budget, Eric Woerth, dans un entretien à La Tribune à paraître mardi.

L’Argentine envisage d’étendre à d’autres pays d’Amérique latine l’accord passé en 2008 avec le Brésil pour se passer du dollar comme monnaie d’échange, a annoncé lundi le directeur de la Banque centrale (BCRA), Arnaldo Bocco.

Les Etats-Unis ont annoncé lundi qu’ils accueilleraient le 25 avril à Washington une réunion des ministres des Finances du G7, élargie plus tard aux autres ministres du G20, avant les assemblées de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale.

Les entreprises de plus de mille salariés qui lancent des plans sociaux sont soumises à une obligation méconnue d’aide à la création d’autant d’emplois que ceux détruits dans une région, mais l’objectif n’est pas encore atteint et la consolation maigre pour les ex-salariés.

L’arrivée des nouvelles plaques d’immatriculation est une aubaine pour les fabricants français au moment où les équipementiers paient un lourd tribut à la crise du secteur automobile.

Se dirige-t-on vers une guerre des banques ? En tout cas, le Crédit Agricole a annoncé dimanche avoir déposé des plaintes contre la Caisse d’Epargne pour des "entraves aux transferts des livrets A" depuis la fin du monopole de leur distribution le 1er janvier dernier.

La ministre de l’Economie, Christine Lagarde, a annoncé vendredi que le taux de rémunération du Livret A passera à 1,75% au 1er mai, contre 2,5% actuellement. Si le mode de calcul automatique défini par la loi avait été appliqué, le taux serait passé à 1%.

L’Etat n’a pas atteint ses objectifs de cessions immobilières

AFP - lundi 13 avril 2009, 18h52

L’Etat français a vendu pour 395 millions d’euros de biens immobiliers l’an dernier, loin de son objectif de 600 millions d’euros, indique le ministre du Budget, Eric Woerth, dans un entretien à La Tribune à paraître mardi.

"Nous avons vendu l’an dernier pour 395 millions d’euros de biens immobiliers. Le ralentissement du marché avec la crise et la mise en oeuvre du droit de priorité des collectivités locales, qui peut amputer la valeur des biens cédés jusqu’à 35%, expliquent ce résultat", affirme M. Woerth.

"Nous avons dû reporter certaines opérations : on ne va pas se précipiter. Il est hors de question de brader quoi que ce soit", ajoute le ministre.

En 2007, le montant des cessions immobilières de l’Etat français avait atteint le niveau record de 808 millions d’euros. L’Etat avait alors prévu 600 millions d’euros de cessions immobilières pour l’année 2008.

L’Etat a réduit les surfaces de bureau qu’il occupe de 77.500 m2 en 2008, après 60.000 m2 en 2007, indique en outre M. Woerth.

"D’ici la fin du quinquennat, nous voulons parvenir à un ratio moyen d’occupation des surfaces de 12 m2 par fonctionnaire, contre 15 m2 dans les administrations centrales et 18 m2 en province", annonce-t-il.

Il évoque la mise en place d’un système de "bonus-malus" pour inciter les ministères à atteindre cet objectif et la création d’une "agence foncière chargée de la gestion immobilière à l’étranger".

Le patrimoine de l’Etat est valorisé à 49,3 milliards d’euros, hors prisons, indique le ministre.

M. Woerth écarte par ailleurs les reproches adressés par la Cour des Comptes, qui, dans son dernier rapport annuel, s’était étonnée de l’absence de règles régissant les cessions immobilières de prestige de l’Etat, ce qui aboutissait parfois à vendre des fleurons du patrimoine français via des paradis fiscaux, en toute opacité.

"Les procédures qui existent actuellement sont suffisantes, l’Etat met toutes les garanties de son côté", assure M. Woerth, qui ajoute que "les critiques que nous essuyons généralement vont à l’inverse de celles de la Cour, car on nous reproche aussi parfois des lenteurs administratives".

L’Argentine envisage des échanges commerciaux en Amérique latine sans le dollar

AFP - lundi 13 avril 2009, 18h43

L’Argentine envisage d’étendre à d’autres pays d’Amérique latine l’accord passé en 2008 avec le Brésil pour se passer du dollar comme monnaie d’échange, a annoncé lundi le directeur de la Banque centrale (BCRA), Arnaldo Bocco.

Billet de réal brésilien en vitrine à Sao Paulo le 5 Mars 2009

"Il s’agit d’une série de mesures destinées à procurer davantage de liquidités et de visibilité aux marchés", a dit M. Bocco à la radio privée El Mundo, en soulignant que la question serait abordée par les pays de la région dans le cadre d’une réunion de l’Association latino-américaine d’intégration (ALADI) en mai ou juin.

L’Argentine et le Brésil ont signé en septembre à Brasilia un accord permettant aux deux pays d’utiliser leur devise nationale, et non plus le dollar, pour leurs transactions commerciales. Ces deux pays concentrent 80% du commerce du Mercosur, un bloc économique qui comprend également le Paraguay et l’Uruguay.

L’Argentine a également passé fin mars avec la Chine un accord d’échange de devises (swap) d’un montant de 10 milliards de dollars, pour trois ans, qui pourra être utilisé pour toutes les transactions financières.

L’ALADI a été créée en 1980 dans le but d’accroître le commerce entre les Etats membres et d’instituer progressivement un marché commun latino-américain. Elle compte douze membres : Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Cuba, Equateur, Mexique, Paraguay, Pérou, Uruguay et Venezuela.

Réunion des ministres des Finances du G7 puis du G20 le 25 avril

AFP - lundi 13 avril 2009, 17h29

Les Etats-Unis ont annoncé lundi qu’ils accueilleraient le 25 avril à Washington une réunion des ministres des Finances du G7, élargie plus tard aux autres ministres du G20, avant les assemblées de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale.

Réunion du G7 à Rome le 14 Février 2009

"Le secrétaire (américain au Trésor) Timothy Geithner accueillera une réunion des ministres des Finances du G7, suivie d’une réunion ministérielle du G20 à Washington le vendredi 25 avril", a indiqué le Trésor dans un communiqué.

Cette formule reprend celle adoptée à l’occasion des assemblées générales du FMI et de la Banque mondiale en octobre. Le G7 s’était réuni le vendredi soir (10 octobre), et le G20 le lendemain, à l’occasion de la venue des ministres des Finances et banquiers centraux de la planète à Washington.

Ce G7 et ce G20 seront les premiers dont M. Geithner, entré en fonctions en janvier, sera l’hôte, a rappelé le Trésor.

Le G7 rassemble sept pays parmi les plus riches de la planète : l’Allemagne, le Canada, les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l’Italie et le Japon.

Le G20 le complète avec d’autres pays riches et émergents : l’Afrique du sud, l’Arabie saoudite, l’Argentine, l’Australie, le Brésil, la Chine, la Corée du Sud, l’Inde, l’Indonésie, le Mexique, la Russie, la Turquie, ainsi que l’Union européenne représentée par le pays qui en assure la présidence tournante (la République tchèque jusque fin juin).

Les grandes entreprises qui licencient mises au défi de recréer autant d’emplois

AFP - lundi 13 avril 2009, 15h54

Les entreprises de plus de mille salariés qui lancent des plans sociaux sont soumises à une obligation méconnue d’aide à la création d’autant d’emplois que ceux détruits dans une région, mais l’objectif n’est pas encore atteint et la consolation maigre pour les ex-salariés.

Ont été récemment concernées Sanofi-Aventis pour Romainville (Seine-Saint-Denis), Michelin pour Toul (Meurthe-et-Moselle), où un centre d’appels s’est implanté en janvier, ou ArcelorMittal pour Gandrange (Moselle) en février. De grands groupes y ont en revanche échappé, notamment lorsque leurs suppressions d’emplois ont été disséminées.

Le gouvernement a averti le fabricant de pneumatiques Continental qu’il serait astreint à l’obligation en cas de fermeture de l’usine de Clairoix (Oise). Le préfet de Haute-Normandie a approché Total dans les jours qui ont suivi l’annonce d’un plan social en mars.

L’obligation est formalisée au cas par cas dans une "convention de revitalisation" conclue avec l’Etat.

Les entreprises considèrent de moins en moins le dispositif comme une punition mais plutôt comme un moyen de se racheter une bonne conduite, note une source ministérielle.

Avec la crise et l’avalanche de plans sociaux, les cabinets spécialisés qui les assistent sont fort sollicités, y compris par des ministères étrangers.

La formule française, unique en son genre, "est regardée avec intérêt", témoigne Alexandre Denurra, directeur du développement d’un de ces cabinets, Sémaphores.

Dans les années 1960, des groupes miniers avaient commencé à implanter de nouvelles activités pour reconvertir les bassins. La pratique a été rendue obligatoire par la loi de modernisation sociale de 2002, complétée en 2005, pour toutes les grandes sociétés dès lors que l’équilibre d’un bassin d’emploi est affecté.

Le préfet dispose d’un délai d’un mois pour décider de la nécessité d’une convention, que l’entreprise doit alors conclure dans les six mois.

Celle-ci fixe sa contribution - entre 2 et 4 Smic mensuels par emploi supprimé -, l’objectif chiffré de créations d’emplois (des CDI) via par exemple des aides à la création d’entreprise ou des prêts sans garantie, ainsi que le délai, deux ans en moyenne.

"L’obligation porte avant tout sur les moyens", relève le consultant de Sémaphores. D’où la tentation d’"emplois faciles" et d’un "saupoudrage financier sur des projets qui se feraient de toute façon".

Pour le secrétaire d’Etat à l’Industrie Luc Chatel, "on a des résultats : les conventions ont permis la création de 50.000 emplois" entre 2002 et 2007.

Sur la période, 349 conventions ont été signées et 235 millions d’euros versés par les entreprises, dont 44 millions en 2007, soit plus que les 42 millions d’euros de la prime d’aménagement du territoire versée par l’Etat cette année-là.

Les conventions arrivées à échéance ont permis de compenser 60% des emplois supprimés. Le gouvernement prévoit malgré la crise de parvenir à 100% en 2011.

Mais la CGT regrette le "chantage" de certaines entreprises, "menaçant de mettre moins dans l’accompagnement des salariés si elles doivent donner plus pour la revitalisation, alors qu’il faut les deux".

De plus, ce ne sont pas la plupart du temps les salariés licenciés qui retrouvent du travail par ce biais, du fait du décalage dans le temps entre plans sociaux et revitalisation. Prochain objectif : l’anticipation.

La nouvelle immatriculation, une aubaine pour les fabricants de plaques

AFP - lundi 13 avril 2009, 15h43

L’arrivée des nouvelles plaques d’immatriculation est une aubaine pour les fabricants français au moment où les équipementiers paient un lourd tribut à la crise du secteur automobile.

Le nouveau Système d’immatriculation des véhicules (SIV) "est une opportunité qui nous permettra de mieux résister à la crise", se réjouit Pascal Lebas, représentant de la filière à la Fédération des industries des équipements pour véhicules (Fiev).

Dès mercredi, les voitures neuves se verront attribuer un "certificat d’immatriculation" au lieu de la traditionnelle "carte grise", avec un numéro minéralogique à vie. A partir du 15 juin, ce sera au tour des véhicules d’occasion.

En quelques années, une grande partie du parc existant sera donc ré-immatriculée, ce qui "générera une activité soutenue à moyen terme", explique M. Lebas.

La hausse des ventes pourrait atteindre 20 à 40% pendant deux ou trois ans, une bouffée d’oxygène attendue avec impatience par le secteur, constitué d’une dizaines de PME durement frappées par l’effondrement des achats d’automobiles neuves.

Les plaques vierges que les équipementiers livraient auparavant à quelque 20.000 points de vente avec le seul logo européen seront désormais complétées par le nouvel identifiant territorial : numéro du département surmonté du logo en couleurs de la région correspondante.

Un changement qui devrait se traduire par une hausse de plus de 20% des prix de vente des fabricants de plaques aux distributeurs.

Mais en bout de chaîne, "il n’y aura pas d’explosion des prix" pour les automobilistes, qui paient essentiellement une prestation de services lorsque l’on change les plaques de leur véhicule, assure Patrick Bailly, président du Conseil national des professions de l’automobile (CNPA).

Pour faire face à la production de ces nouvelles plaques, plus complexe techniquement, les fabricants ont dû réaliser d’importants investissements, qu’ils espèrent pouvoir rentabiliser rapidement, voire embaucher.

Le groupe Faab-Fabricauto, leader français de la fabrication de plaques, qui emploie aujourd’hui plus de 300 personnes, a ainsi investi 5 millions d’euros pour adapter moyens de production et logistique et augmenté ses effectifs "de 40% depuis fin 2008", indique le directeur industriel de Faab, Yannick Debiesse.

L’introduction de ces nouvelles plaques "tombe au moment opportun" pour compenser les effets de la crise, juge-t-il.

Cette manne sera toutefois de courte durée. Après un pic de deux à trois ans, les ventes de plaques devraient se stabiliser 10 à 20% en dessous du niveau actuel, selon les estimations de la filière.

Du côté des vendeurs de voitures indépendants et des concessionnaires, qui avaient obtenu le report du dispositif initialement prévu le 1er janvier et jugé inopportun en pleine crise, on se dit désormais "confiant".

"Dans chaque affaire", il a fallu "former un ou plusieurs salariés", souligne M. Bailly, bien que cette réforme n’ait pas "un gros impact sur le chiffre d’affaires" des vendeurs.

Les nouvelles possibilités de "personnalisation des plaques", du drapeau breton à la tête de Maure corse, sont toutefois susceptibles de générer pour eux un "petit supplément d’activité", estime Yves Riou de la Fédération des syndicats de la distribution automobile.

"Il y a même des clients qui ont retardé leur achat de voiture pour les attendre", note François Roudier, directeur de la communication du Comité des constructeurs français automobiles.

Livret A - Le Crédit Agricole s’en prend à l’Ecureuil

le 12/04/2009 - 22h06

La banque verte porte plainte contre la Caisse d’Epargne pour "entraves aux transferts des livrets A" depuis la fin du monopole de leur distribution.

Crédit Photo : TF1/LCI Livret A

La guerre du livret A

Se dirige-t-on vers une guerre des banques ? En tout cas, le Crédit Agricole a annoncé dimanche avoir déposé des plaintes contre la Caisse d’Epargne pour des "entraves aux transferts des livrets A" depuis la fin du monopole de leur distribution le 1er janvier dernier.

Selon un communiqué de la Fédération nationale du Crédit Agricole (FNCA), "la Caisse d’épargne, la Banque postale et le Crédit mutuel, qui ont perdu le 1er janvier 2009 leur privilège de distribution du Livret A, ne respectent pas leurs obligations légales et réglementaires et déploient un véritable arsenal défensif pour freiner ou empêcher les transferts vers d’autres établissements".

"Alors que ces transferts devraient se dérouler dans des délais strictement limités et selon des procédures réglementées, de nombreux clients ayant choisi de demander le transfert à leur banque éprouvent des difficultés à voir leur ordre exécuté dans de bonnes conditions", affirme le Crédit Agricole.

"Intimidation de la clientèle"

Selon ce communiqué, "les demandes des clients sont rejetées dans des proportions très importantes, qui peuvent atteindre plus de 20% des dossiers présentés à la Caisse d’épargne."

"Nous sommes face à des opérations globales d’intimidation de la clientèle", a déclaré le directeur général de la FNCA, au Journal du Dimanche, qui a révélé l’existence de ces plaintes.

"Après avoir vainement tenté d’obtenir le respect des dispositions réglementaires, le Crédit agricole a donc décidé d’agir pour que cessent ces pratiques" et "des plaintes contre la Caisse d’épargne ont été déposées auprès des tribunaux de commerce" par le Crédit agricole du Languedoc, le Crédit agricole d’Ile-de-France et la Fédération nationale du Crédit agricole.

Les caisses régionales de Crédit Agricole ont également officiellement saisi les directeurs des succursales de la Banque de France tandis que la FNCA a "attiré l’attention" des services de la répression des fraudes sur ces "pratiques d’entrave à la libre concurrence".

(D’après agence)

Livret A - Au 1er mai, ce sera 1,75%

le 10/04/2009 - 22h44

La ministre de l’Economie, Christine Lagarde, a annoncé vendredi que le taux de rémunération du Livret A passera à 1,75% au 1er mai, contre 2,5% actuellement. Si le mode de calcul automatique défini par la loi avait été appliqué, le taux serait passé à 1%.

Crédit Photo : TF1/LCI livret a

Les quelque 47 millions de Français qui détiennent un Livret A ont de quoi être rassurés. Au 1er mai, le taux de rémunération de leur produit d’épargne préféré baissera à 1,75% et non à 1%, comme cela aurait été le cas si le mode de calcul automatique défini par la loi avait été appliqué.

"J’ai décidé en accord et avec l’autorisation du Premier ministre de fixer le taux de rémunération du livret A à 1,75% à partir du 1er mai", a annoncé vendredi la ministre de l’Economie, Christine Lagarde. Jusqu’ici, le taux de rémunération du Livret A s’établissait à 2,5%. "Si l’inflation reste basse et proche de zéro, nous devrons réexaminer la rémunération au mois d’août", a également précisé Christine Lagarde.

Un "effort particulier"

La ministre a ainsi suivi la recommandation formulée vendredi matin par le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, après l’annonce d’un fort ralentissement de l’inflation le mois dernier (lire notre article).

Pour autant, selon lui, porter le taux du Livret A à 1% pouvait "paraître un peu fort". Même raisonnement de la part de Christine Lagarde, selon laquelle l’Etat a souhaité consentir un "effort particulier".

En janvier, le taux du Livret A avait été abaissé à 2,5%, contre 4% auparavant. La raison ? La baisse rapide de l’inflation. La Banque de France avait alors obtenu qu’il soit révisable tous les trimestres, et non plus deux fois par an. Elle avait également demandé que ses variations soient limitées à 1,5 point au maximum pour être moins brutales.

(D’après agence)

VIDEOS

Immatriculation : Les nouvelles plaques arrivent mercredi

13 avril 2009 - 13h00

Dès mercredi, les nouvelles plaques minéralogiques vont entrer en vigueur pour tous les véhicules neufs. Ces plaques seront désormais attribuées à vie.

La Redaction

Banques : La guerre du livret A

Le 12 avril 2009 - 20h00

Le Crédit agricole porte plainte contre la Caisse d’épargne, qu’il accuse de freiner ou d’empêcher des transferts de livrets A vers d’autres banques..

Par La Redaction


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