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NATURE ET SANTE

La nature souffre et se venge sur l’humain qui supporte mal !

lundi 13 juillet 2009 par JMT

La commission des Affaires économiques du Sénat a décidé d’interdire l’usage des portables dans les écoles maternelles et primaires et dans les collèges. Dans le titre V du Grenelle 2, au chapitre des ondes électromagnétiques, la commission a également "relevé de 12 à 14 ans le seuil d’interdiction de la publicité" pour les mobiles à destination des enfants.

Une étude réalisée dans des universités de la région Paca dresse un tableau clinique inquiétant du malaise dans les facs. Et constate que si les étudiants souffrent, ils se soignent peu. Au hit-parade de la souffrance psychique : troubles anxieux et dépression.

Les responsables du secteur public hospitalier dénoncent "une véritable agression" de la part des cliniques, qui ont lancé une campagne pointant un "surcoût" des hôpitaux. "Nous ne faisons pas du tout la même chose", souligne Claude Evin, président de la Fédération hospitalière de France. Par exemple, les hôpitaux prennent en charge "88% des passages aux urgences".

Des milliers de sacs et de bouteilles en plastique dérivant au gré des courants ont été repérés au large du Cap Corse. Ils proviendraient d’Italie, peut-être de décharges à ciel ouvert de la région napolitaine.

Une tortue alligator a été retrouvée dimanche sur les quais de Seine, à Paris. Le reptile qui peut peser jusqu’à 100 kilos est considéré comme dangereux.

Grenelle 2 - Les portables interdits jusqu’au lycée

le 10/07/2009 - 08h53

La commission des Affaires économiques du Sénat a décidé d’interdire l’usage des portables dans les écoles maternelles et primaires et dans les collèges. Dans le titre V du Grenelle 2, au chapitre des ondes électromagnétiques, la commission a également "relevé de 12 à 14 ans le seuil d’interdiction de la publicité" pour les mobiles à destination des enfants.

Crédit Photo : SXC.HU Image d’archives Adolescent au portable

Dans le cadre du titre V du Grenelle 2 consacré aux "risques, santé et déchets", la commission des Affaires économiques du Sénat a pris une décision forte : l’interdiction l’usage des portables dans les écoles et collèges, a annoncé jeudi la commission.

Cette mesure d’interdiction s’applique aux "élèves des écoles maternelles et élémentaires et dans les collèges".

Dans le titre V, au chapitre des ondes électromagnétiques, la commission a également "relevé de 12 à 14 ans le seuil d’interdiction de la publicité" pour les mobiles à destination des enfants.

Elle a aussi prévu "un meilleur suivi des travailleurs amenés à utiliser quotidiennement les portables". Les sénateurs de la commission ont voté l’ensemble du Grenelle 2 après 35 heures de discussion et l’examen de 1089 amendements, précise un communiqué de la commission.

Par ailleurs, le Sénat a achevé dans la nuit de mercredi à jeudi les titres V (Risques, santé, déchets), VI (gouvernance) et VII (Dispositions complémentaires).

Le Grenelle 2 met en application les dispositions de la loi d’orientation Grenelle 1 encore en discussion à l’Assemblée nationale. Il devrait être examiné en séance en septembre.

(D’après agence)

Santé publique - Un étudiant sur quatre souffre de troubles psychiatriques

le 07/07/2009 - 09h51

Une étude réalisée dans des universités de la région Paca dresse un tableau clinique inquiétant du malaise dans les facs. Et constate que si les étudiants souffrent, ils se soignent peu. Au hit-parade de la souffrance psychique : troubles anxieux et dépression.

Crédit Photo : Sxc Kalilo Image d’archives étudiants

Anxiété ou dépression sont les maux les plus fréquents. Mais pas nécessairement les plus graves. Et ces troubles psychiatriques, qui toucheraient un étudiant sur quatre, ont un retentissement direct sur les études pour la moitié d’entre eux.

Tels sont les résultats, plutôt inquiétants, d’une étude réalisée dans des universités de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Ces données, publiées mardi dans le Bulletin de l’Institut de veille sanitaire, émanent d’une étude sur leur santé réalisée auprès de plus de 1700 étudiants de première année, inscrits en 2005-2006 dans l’une des universités de la région Paca. De cette étude sont exclus les redoublants, qui ne sont pas tenus à une visite médicale.

Près d’un tiers des filles, près d’un quart des garçons

Les étudiants étaient âgés en moyenne de 19 ans, soit une tranche d’âge "où certains troubles psychiatriques apparaissent ou se développent", soulignent les auteurs de l’étude conduite par Valérie Guagliardo, de l’Inserm et de l’Université Aix-Marseille.

Il en ressort que 25,7% des étudiants (28,2% chez les filles, 21,6% chez les garçons) souffrent de troubles, dont 15,7% d’un seul trouble et 10% de plusieurs. 15,7% des étudiants souffrent de troubles anxieux, 8,9% de dépression caractérisée et 8,1% de troubles liés à l’utilisation de substances telles qu’alcool, sédatifs, drogues...

Plus de la moitié (51,7%) de ceux qui souffrent d’un de ces troubles en subissent un retentissement fonctionnel "important" sur leurs études ou le travail (40%), leurs relations avec les proches (27%) ou leurs relations sociales (26,8%). Ce retentissement dure de 11 à 28 jours.

Quand ils souffrent conjointement de dépression et d’anxiété, 76,6% des étudiants subissent un important retentissement sur leurs études ou leur travail. Néanmoins seulement 30,5% des étudiants souffrant de troubles ont consulté cette année-là un professionnel de santé.

D’après agence

Santé publique - Guerre ouverte entre les cliniques et l’hôpital public

le 07/07/2009 - 15h47

Les responsables du secteur public hospitalier dénoncent "une véritable agression" de la part des cliniques, qui ont lancé une campagne pointant un "surcoût" des hôpitaux. "Nous ne faisons pas du tout la même chose", souligne Claude Evin, président de la Fédération hospitalière de France. Par exemple, les hôpitaux prennent en charge "88% des passages aux urgences".

Crédit Photo : TF1/LCI Couloir d’hôpital

La convergence des tarifs entre cliniques et hôpitaux, prévue pour 2012, a récemment été reportée à 2018. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a estimé nécessaire de disposer "d’études robustes et crédibles" sur les différences de coût.

En attendant, et en l’absence de telles études, chacun peut avancer ses propres arguments et ses propres évaluations. C’est précisément ce qu’a fait la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP), qui regroupe l’essentiel des cliniques, à l’occasion d’une campagne lancée dans les médias.

Une campagne très mal ressentie par la Fédération hospitalière de France (FHF), regroupant les responsables du secteur public hospitalier, qui y a vu une "véritable agression".

Il faut dire que pour sa campagne de communication, la FHP a mis les moyens : de multiples communiqués, des encarts publicitaires dans les journaux... et une lettre ouverte adressée dimanche au Président de la République.

Avec un argument choc : selon la FHP, les tarifs des cliniques sont de "37% inférieurs en moyenne à ceux du public", d’où l’idée que les hôpitaux provoquent un "surcoût injustifié".

Précisons, tout de même, que les tarifs en question sont les sommes que l’assurance maladie verse aux établissements de santé en fonction des soins réalisés, et non pas les sommes déboursées directement par les patients.

"Nous ne choisissons pas nos patients"

Colère de Claude Evin, président de la FHF, et de son vice-président, le député UMP Jean Leonetti, qui s’est dit "indigné". Selon la FHF, les comparaisons des cliniques ne sont pas valables parce que les tarifs qu’elles affichent "ne comprennent pas les examens biologiques et d’imagerie", les dépassements d’honoraires ou encore les suppléments hôteliers.

"L’hôpital ne refuse pas de se poser la question de son efficience, mais nous ne faisons pas du tout la même chose", a souligné Claude Evin, prenant l’exemple de l’obstétrique, où l’hôpital public assure "une part beaucoup plus importante des grossesses à risque".

La FHF rétorque par ailleurs que les cliniques ont une activité essentiellement programmée, tandis que les hôpitaux prennent en charge "88% des passages aux urgences" et assument des missions de service public, d’enseignement et de recherche.

"Ces surcoûts pour l’hôpital ne sont pas financés", a jugé la FHF. "Nous ne choisissons pas nos patients, ça fait aussi une très grosse différence", a par ailleurs souligné Paul Castel, représentant des directeurs de CHU.

D’après agence

Pollution - Marée blanche au large du Cap Corse

le 07/07/2009 - 07h07

Des milliers de sacs et de bouteilles en plastique dérivant au gré des courants ont été repérés au large du Cap Corse. Ils proviendraient d’Italie, peut-être de décharges à ciel ouvert de la région napolitaine.

Crédit Photo : sxc.hu "80% de la pollution des mers provient de la terre", selon un rapport de l’ONU publié en octobre 2006.

Vue de loin, la scène pourrait presque avoir l’aspect d’un phénomène naturel : une sorte de floraison d’algues étranges, ou une concentration exceptionnelle de méduses...

Vue de plus près, elle révèle sa vraie nature : une décharge flottante à la surface de la Méditerranée. Des conglomérats de plusieurs mètres de long composés de sacs et de bouteilles en plastique.

Ils proviendraient d’Italie, où existent de nombreuses décharges à ciel ouvert par nécessairement très bien réglementées ; et ils ont été repérés au large du Cap Corse.

Sur la provenance de ces déchets flottants, Gilles Zerlini, président de l’association écologiste Le Poulpe, assure n’avoir aucun doute. "Les étiquettes et les inscriptions qui figurent encore sur les bouteilles et les sachets, prouvent que cette pollution plastique provient d’Italie, probablement de la région de Naples", a-t-il affirmé après avoir effectué une plongée pour vérifier l’origine de cette "marée blanche".

Des déchets à la dérive depuis des années ?

"Compte tenu de l’état de ces matières plastiques, déchirées, écrasées, verdies et couvertes de concrétions, il ne s’agit pas d’une pollution récente mais plutôt d’amas qui dérivent au gré des courants depuis des mois, voire des années", a-t-il précisé. Il a fait état d’une "étude estimant à 60.000 au kilomètre carré le nombre des objets flottants en Méditerranée".

Plus près du rivage, selon le militant écologiste, "depuis trois jours, de Santa-Severa à Bastia (une trentaine de kilomètres), les baigneurs sont entourés de sacs en plastique, une concentration incroyable d’objets flottants".

D’après agence

Découverte - L’abominable créature de la Seine

Amélie GAUTIER - le 01/07/2009 - 17h14

Une tortue alligator a été retrouvée dimanche sur les quais de Seine, à Paris. Le reptile qui peut peser jusqu’à 100 kilos est considéré comme dangereux.

Crédit Photo : Préfecture de Paris : Le reptile retrouvé dimanche dans la Seine à Paris

Sa carapace est recouverte de grosses épines, sa queue est celle d’un alligator et son bec peut vous couper une main. Cet animal au look de mini-dinosaure est une tortue alligator et cette bête exotique nageait tranquillement dans la Seine avant d’être repérée dimanche par un promeneur du côté du pont Bir-Hakeim.

Alertés, les policiers de la brigade fluviale ont surveillé le reptile long de 40 cm avant l’intervention des pompiers cyrotechniques, spécialisés dans le domaine.

"C’est vraiment un animal impressionnant, raconte le commandant Constant, chef de la brigade. Elle a vraiment une gueule préhistorique et a l’air plutôt agressive..."

Cette espèce est originaire du Sud-Est des Etats-Unis. Le specimen "parisien" a été emmené dans un établissement spécialisé dans les animaux exotiques.

Pour la petite histoire, la dernière "trouvaille" bizarre dans le fleuve remontait à 2006. C’était un python mort qui mesurait plus de deux mètres de long. Généralement, ce sont des moutons ou des chiens morts ou vivants qui sont retrouvés dans la Seine.

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